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MIS Quaterly a sorti en Mars 2005 un numéro spécial sur "Information Technologies and Knowledge Management". Cela vaut certainement le coup d'y jeter un coup d'oeil pour voir où en est la crème de la crème de la recherche en Systèmes d'Info américaine (ou très proche des Etats-Unis) sur ce sujet.
A voir donc...
http://www.misq.org/archivist/vol/no29/Issue1/vol29n1index.html
Commentaires :
Re:
Bonjour Anonyme, ;-)
Je ne sais pas trop qui tu es alors je vais peut être répondre à côté. Désolée par avance.
Non, je ne trouve pas que toutes les publis en KM soient fumeuses. Certaines le sont bien sûr et c'est partout pareil.
Effectivement quand on prend les théories cela paraît toujours évident. Nonaka et Davenport que tu cites ont une vision très globale du KM qui effectivement paraît évidente et claire (d'autant que leurs articles sont en général bien écrits ;-). Effectivement quand on les confronte à des articles "terrains" qui énoncent les difficultés et les problèmes on peut avoir l'impression que tout cela est très fumeux et pompeux. En fait oui et non. Oui une théorie est forcément simplificatrice. Elle isole un certain nombre de paramètres et variables dans un cadre et puis elle dit "si ça, alors, truc". Après il faut la confronter au terrain. Et là on se rend compte soit que la théorie est réfutable, soit que certains paramètres et variables sont très difficiles à observer ou à encadrer et donc que la théorie est difficile à valider. C'est typiquement le cas pour les théories qui s'intéressent à l'organisation d'entreprise. Ces théories isolent un nombre infinitésimal de variables comparé à la réalité. Donc ce qu'elles disent est forcément très limité. Toutefois elles aident à comprendre de toutes petites choses qui sont essentielles. Si tu compares le mode de management des années 60 à aujourd'hui tu te rends compte que les théories ont eu du bon. C'est grâce à certaines théories très simplificatrice comme celle de Porter par exemple qu'on s'est rendu compte que pour être efficace une entreprise devait prendre en compte son environnement. Cela paraît évident et fumeux mais dans les années 60-70 cela ne l'était pas. Il fallait que quelqu'un l'écrive en le prouvant en partie pour que les entreprises se mettent à regarder un peu ce qui se passait autour d'elles...
Bref, je crois que comme partout il ne faut pas tout rejeter en bloc. Tout n'est pas fumeux mais rien n'est certainement parfait ;-)
A bientôt
Re: Re:
Re: Re: Re:
le KM ne se résume pas seulement au TIC,c'est avoir des oeillères. Ce n'est pas parce qu'on fait une thèse qu'on à la science infuse.........je crois qu'il faut un peu d'humilité.
un lecteur qui oeuvre dans le conseil et se trouve confronté souvent à des préjugés et acquis, une évidence vieux comme le monde.....un début de gestion des connaissances.
Thème inspiré par Bryan Bell.